Feu Maitre Mokhtar Ould Daddah
  Son Oeuvre
 





Premier Conseil des Ministres


Indépendance de la Mauritanie
Commandant François Besley,chef du Cabinet militaire du Président Mokhtar Ould Daddah,présente en tete du défilé ,les troupes 
de la toute jeune république






Le Train minéralier le plus long du monde

L’Oeuvre Idyllique de Feu Maitre Mokhtar Ould Daddah pour faire émerger cette nation qu’est la Mauritanie.
Moktar Ould Daddah s’est efforce, avec l’aide des équipes d’hommes et de femmes qui ont travaille avec lui, de mettre en place un vrai PROJET de SOCIETE, conscient que son pays, a peine sorti de la période coloniale, devait sans tarder, trouver sa place dans un monde ou,  bien souvent, la force l’emporte sur le droit et l’égoïsme sur la solidarité.
Peu a peu, il a pose les jalons d’une société ou les générations futures pourront, fières de leur héritage historique et spirituel, assumer leur rencontre avec la modernité.
 Pour réaliser un tel projet, que fallait-il faire ? Quelles priorités fallait-il retenir pour que cette rencontre soit positive et place la Mauritanie dans le concert des nations de cette deuxième moitie du 20eme siècle ? Il fallait relever trois défis :
PREMIER DEFI. Ce fut celui de l’existence même de la Mauritanie.
Née d’un long processus colonial – d’abord territoire de la Mauritanie occidentale en 1899, puis protectorat des pays maures du Bas- Sénégal en 1903, territoire civil en 1904, colonie de l’AOF en 1920, territoire d’Outre- Mer en 1946, République autonome en 1958, enfin République indépendante en 1960 – la Mauritanie, contrairement aux autres colonies françaises, a du lutter, non pour obtenir son indépendance, mais pour exister dans le concert des nations.
Revendiquée des 1956 comme partie intégrante du Royaume du Maroc, pressée par ses voisins soudanais (maliens) et sénégalais, d’entrer dans l’éphémère Fédération du Mali, la Mauritanie a du mener tous ces combats a la fois, grâce a l’aide de ses amis africains et français. Néanmoins, les relations avec ces derniers ont été souvent délicates. D’une part,  il fallait que l’indépendance octroyée par la France, devint une réalité et que l’Etat mauritanien affirme a chaque occasion son autorité. D’autre part, la dépendance vis-à-vis  de la France demeurait moins dans le domaine financier que dans celui de la sécurité extérieure.
DEUXIEME DEFI. Il fut d’ordre identitaire. Quelle place allions-nous donner a la jeune nation mauritanienne ?
D’un territoire a vocation stratégique, jalonne de quelques postes militaires, et seulement destine a assurer la liaison entre les colonies françaises d’Afrique Noire et celles d’Afrique du Nord, la Mauritanie devint avec l’indépendance, ce que l’histoire et la géographie commandent : un TRAIT d’union entre l’Afrique occidentale et l’Afrique méditerranéenne.
En effet, limitrophe au nord et au nord-est, du Maroc et de l’Algérie, a l’est, du Soudan (Mali), et au sud, du Sénégal, la Mauritanie inscrit son histoire dans celle des grands empires qui se sont succédés dans le Sahel a partir du huitième siècle de l’ère chrétienne.
La composition de cette population témoigne de cette histoire. Maures et populations noires cohabitent depuis des époques très anciennes, et ont souvent conclu alliances et mariages au cours des siècles.
Un tel défi ne fut pas facile a relever. En effet, il fallait jeter les fondations d’un Etat-Nation, c’est-à-dire inviter les hommes et les femmes de Mauritanie a assumer collectivement un destin commun. Les obstacles ne manquaient pas tant étaient actifs le tribalisme, le régionalisme et le racisme, souvent exacerbes de l’extérieur. En même temps, il fallait accepter les réalités d’alors, sans provoquer ni ruptures ni découragement.
TROISIEME DEFI. Ce fut celui de préparer la naissance d’une nation démocratique. Tache de longue haleine qui, le Président Moktar Ould Daddah le savait, allait solliciter les efforts et les sacrifices de plusieurs générations.
Sans attendre, dans le cadre du Parti du Peuple Mauritanien, Moktar Ould Daddah a bel et bien ouvert l’école de la démocratie mauritanienne, a petits pas, modestement mais fermement. Comment a-t-il procédé ?
En dénonçant par exemple ceux qui utilisent la religion a des fins non avouables, en affirmant aussi que tout Mauritanien, quelle que soit son histoire individuelle, doit être libre et égal en droits avec tous ses compatriotes, en laissant la parole aux jeunes, souvent critiques, mais aussi souvent sincères et désintéressés, en donnant a la femme mauritanienne la place qu’elle mérite dans une société qui a besoin de tous ses membres.
Ce ne sont la que quelques exemples qui montrent que la problématique de la démocratie mauritanienne n’est pas la même que dans d’autres pays, et qu’il ne s’agit pas de copier tel ou tel système, mais bien d’inventer, en fonction de nos réalités sociales et économiques, en fonction de notre stade de développement, une démocratie a la mesure des Mauritaniens, sans jamais oublier que la Mauritanie évolue dans un monde désormais sans frontières, qui charrie l’acceptable voire le souhaitable, mais aussi l’inacceptable.
 
 


OMVS  

 


Notre monnaie Nationale

Office National du Tapis Mauritanien

Route de l'espoir



 

 

 


Voie ferrée Zouérate- Nouadhibou
Des centaines et des centaines de Kilométres!





Camion mineralier





Son Roman


Le Culbuteur


Train de la SNIM

 

 


 PLAINE DE M'POURIER




La Mauritanie avant Feu  Mokhtar Ould Daddah



BAC DE ROSSO


La mauritanie ancienne 

une oasis mauritanienne

Ville ancienne de Mauritanie

Bivouac en Mauritanie

Les Hommes s'en vont et leurs oeuvres restent.

 
 
   
 
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